Alors qu’il y a 50 ans, une usine de valorisation thermiques des déchets (UVTD) émettait encore des quantités considérables de poussières fines et de polluants, la « fumée » qui s’échappe de la cheminée d’une UVTD d’aujourd’hui se compose uniquement de vapeur d’eau et de dioxyde de carbone. Dans le cas des poussières fines, les quantités sont encore plus faibles que dans l’air ambiant. L’étape suivante consiste à éliminer le dioxyde de carbone, qui n’est pas toxique mais qui reste nocif pour le climat, du flux des gaz de combustion. L’article suivant décrit les succès de l’UVTD dans l’épuration des fumées de l’incinération.

Plus d’informations dans le magazine « l’environnement » 1/2021 de l’OFEV